Optimalisme.eu

Législatives européennes 2019

POUR QUI VOTER ?

Le meilleur candidat aurait été celui qui aurait adopté l’Optimalisme de monsieur Lahrichi (www.optimalisme.eu, YouTube : Les rendez-vous de l’optimalisme) car seul le mode de développement optimal qu’il propose sauvera l’Humanité.  Malheureusement, ce candidat n’existe pas encore. Alors, pour qui voter ?

Pour le plus universaliste et le moins capitaliste, si notre sort et celui de nos descendants nous tiennent à cœur.

« Le plus Universaliste », celui dont la voix et l’action appellent et mobilisent toute l’Humanité. La France seule, l’Europe seule, ni aucune puissance nationale ou régionale ne pourra faire avancer positivement et significativement les choses.

« Le moins capitaliste », car les conflits d’intérêt font du libéralisme aveugle le principal fossoyeur de chacun des hommes et de l’Humanité. La Chine et tous les pays émergeants refusent de faire les grandes concessions urgentes qui s’imposent arguant : « Laissez-nous polluer pour nous hisser à votre niveau, vous, les pays avancés ! ».

On parle beaucoup de fraternité générale en ce mois d’octobre 2017. Mais ce qu’on ignore, c’est qu’on ne pourra jamais atteindre un niveau de fraternité suffisant pour espérer sauver l’humanité tant qu’existeront la division de l’humanité en États indépendants rivaux et la propriété privée excessive individuelle et collective.

Seule la mise en œuvre, à l’échelle de toute l’humanité, du mode de développement optimal (M.D.O.) proposé par l’Optimalisme (Optimalisme.eu) pourra, à terme, venir à bout de ces deux fléaux qui empêchent d’atteindre la vraie fraternité universelle efficace et salvatrice, ce que l’Optimalisme appelle la solidarité universelle.

Des Journées de fraternité générale, c’est bien !
Des Journées mondiales du mode de développement optimal, c’est mieux !

Depuis la conférence de Copenhague de 2009, la limitation du réchauffement climatique à 2°C n’a pu trouver un accord planétaire juridiquement contraignant. «… La maison brûle, on regarde ailleurs… » avait dit jacques Chirac.

L’accord de Paris ne prévoit pas de clauses juridiquement contraignantes. De plus, les 195 pays présents, qui l’ont tous approuvé, auront le droit, selon les termes de l’accord, de s’en retirer trois ans après son entrée en vigueur en 2020, c’est-à-dire dès 2023.

Ce qui est frappant, c’est que jusqu’à aujourd’hui la politique du mode de développement durable s’obstine à trouver les moyens pour arracher un tel accord sans jamais y parvenir et sans jamais s’attaquer aux contraintes qui s’y opposent. À aucun moment, la politique du mode de développement durable n’a mis en cause les vraies raisons de cet échec : la division de l’humanité en centres de décisions indépendants que sont les États et la division de l’économie et de l’activité communautaires en centres d’intérêts particuliers, privés et donc concurrentiels. Un échec qui dure depuis des années alors que l’Optimalisme démontre que « la seconde compte, notre longévité individuelle et notre longévité communautaire en dépendent ». Environ 200 millions de secondes infructueuses depuis la COP 15 de Copenhague à la COP 21 de Paris (189 345 600 secondes de date en date) génératrices de manques à gagner en progrès et d’érosion effrénée du capital longévité de chacun des hommes actuels et futurs et du capital longévité de l’humanité.

Ce qui est frappant, c’est que toutes les critiques dirigées contre l’inefficacité du mode de développement durable échafaudent un raisonnement on ne peut plus rigoureux annonçant une fin tragique pour l’humanité si rien de sérieux n’est entrepris immédiatement. Arrivées au bout de leur raisonnement, toutes ces critiques s’arrêtent net là où il faudrait conclure et dénoncer les fossoyeurs de l’humanité : la propriété privée excessive et la division de l’humanité en États indépendants.

La restriction de la propriété privée à son optimum ainsi que l’universalité doivent être les objectifs à atteindre, progressivement mais le plus rapidement possible, avant que le rouleau compresseur de la sélection naturelle ne terrasse l’humanité (conflits pour l’acquisition des ressources énergétiques, pour plus de denrées alimentaires, pour plus d’eau, pour plus de terres cultivables devenues rares,…, pour plus de richesses, pour plus de suprématie, etc.).

Seul le mode de développement optimal, transition nécessaire et urgente du mode de développement durable (voir détail sur youtube : les rendez-vous de l’Optimalisme 1, développement durable et développement optimal, lien : https://www.youtube.com/watch?v=j4GpNPpThk8), est en mesure de résoudre tous les problèmes de l’humanité le mieux possible et le plus rapidement possible et plus particulièrement d’atteindre rapidement ces objectifs. Continuer dans la logique du mode de développement durable, c’est exposer l’homme à une mort prématurée et l’humanité à une extinction prématurée, délibérément et en connaissance de cause maintenant que le mode de développement optimal nous offre l’opportunité de sauver l’homme et sa planète.

On ne parle que de lui, « le développement durable », et pourtant…
Ses objectifs sont, certes, louables et œuvrent dans l’intérêt de l’humanité et de sa planète nourricière. Mais rendons-nous à l’évidence : sa démarche, censée porter assistance à humanité en danger d’extinction prématurée, est à bout de souffle et pèche par sa lenteur et son inefficacité.

Le mode de développement optimal mis au point par l’Optimalisme rejoint le mode de développement durable dans son objectif fondateur mais avec une vision et une conception bien plus ambitieuses et plus globales. Il est le fruit des leçons tirées des multiples échecs du mode de développement durable et il est aussi, et surtout, le fruit de la déduction logique, exempte de toute influence idéologique ou passionnelle. Ce qui fait de lui un mode de développement global, performant, fédérateur et irréfutable.
En d’autres termes, le mode de développement optimal donne la feuille de route à suivre, optimale et incontournable, pour que tout homme actuel et futur ainsi que l’humanité puissent vivre le mieux possible le plus longtemps possible.
C’est pourquoi cette nouvelle approche mérite d’être mise sous les projecteurs de la COP 21 qui se tiendra à Paris en décembre prochain.

Madame la Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, à vous de jouer !

Si la Loi autorisait la dénomination « des républicains », elle créerait un précédent. Les autres partis politiques seraient alors en droit de troquer leur nom contre une autre dénomination tout aussi discriminatoire telle que « des républicains de France », « des français », « des patriotes » ou « des politiciens ».
Dans le cas contraire et si besoin est, des dénominations non contestables et plus dignes ne manqueront pas : le « parti des optimalistes », le « parti de l’Optimalisme » ou le « parti du développement optimal », par exemple. Et, pourquoi pas le « parti de républicains » ? Ce qui serait parfaitement légitime et surtout conforme à la réalité.

Et les soldats Allemands morts pour leur patrie ? Personne ne leur a rendu hommage !
Et pourtant, ne sont-ils pas eux aussi des enfants de l’humanité sacrifiés sur l’autel du patriotisme, conséquence directe de la division de l’humanité en États indépendants et inévitablement rivaux ? Est-ce un tort que de naître dans une division territoriale de notre planète plutôt que dans une autre ? Est-ce un tort que de servir sa patrie, de la défendre en répondant à l’appel de ses dirigeants ? N’y a-t-il pas là une aberration dans l’organisation et la gestion communes de l’humanité ? Ne serait-il pas plus intelligent d’opter pour une humanité unie qui consacre tous ses efforts, toutes ses énergies et tous ses enfants, quelles que soient leurs origines et quelles que soient leurs convictions, à la lutte contre la Nature pour en tirer le meilleur profit et n’en subir que le moindre mal ? N’est-il pas désolant qu’en ce jour du 6 juin 2014, 70 années après les événements, il ne soit toujours pas accordé à une humanité horriblement orpheline – des centaines de milliers d’hommes sont morts ce jour-là, des dizaines de millions d’hommes sont morts dans cette guerre – ni une petite place dans aucun des discours, qui restent encore exclusivement unilatéralistes (les Alliés), ni un discours prononcé en son nom ?
L’Optimalisme est la seule science politique conçue pour œuvrer efficacement dans le sens de l’unification de l’humanité afin que chacun des hommes actuels et futurs puisse vivre le mieux possible le plus longtemps possible. Et dire que certains hésitent encore à militer pour l’union européenne, noyau nécessaire dans l’édification d’une humanité unie, loin des conflits Homme/Homme et entièrement dévouée à la lutte Homme/Nature !
Cela dit, je réprouve la barbarie de la guerre et les idéologies racistes.
Mon seul désir est que l’humanité adopte au plus vite l’Optimalisme pour que progressivement et rapidement les horreurs inhérentes à la division de l’humanité en États indépendants et inévitablement rivaux cessent une fois pour toutes. Car, eu égard au concept optimaliste de la seconde compte, tout retard de notre part dans cette adoption tue et tuera prématurément et inéluctablement tout homme actuel et tout homme futur et éteindra de même l’humanité.

Soyons optimalistes et parlons Optimalisme !

Ici, j’essayerai de commenter l’actualité en la passant au crible de l’Optimalisme. Il va de soi que la terminologie optimaliste sera utilisée.

Le but attendu de toute actualité critiquée est de déterminer si oui ou non les actes actifs ou passifs, individuels, partisans, nationaux ou internationaux, qui font cette actualité, sont des actes optimalisants.