Le progrès max.

Signification :
La condition sine qua non pour que le B.E. soit maximal est que le progrès le soit aussi. La conception du S.U.O., son organisation et son activité doivent répondre à cet impératif.

Commentaires :
Le S.U.O. doit assurer à l’Humanité le meilleur rythme de progrès possible pour :

  • Rendre prévisible l’imprévisible afin de mieux comprendre l’évolution passée, présente et à venir des phénomènes de notre nature propre et ceux de la Nature, afin de mieux planifier notre activité et organiser notre communauté en prévision des événements et des conditions de vie que cette évolution nous réserve et afin de mieux assurer notre sécurité et notre B.E. Pour atteindre ce but, le mode de développement adopté par le S.G.H. en cours doit être le plus performant possible, tel que le mode de développement optimal proposé par l’Optimalisme. Ainsi, il pourra accélérer le pas de l’intégration progressive et optimale dans le domaine du certain, régi par les sciences « exactes » et par des formules plus sûres et plus précises, de ce qui relève encore de l’incertain, de l’approximatif ou de l’aléatoire, régi, quant à lui, par les lois des probabilités et des statistiques.
  • Prévoir en permanence les événements pouvant survenir dans un futur de plus en plus lointain. Cela permettra de disposer de délais de plus en plus grands pour prévenir les dangers menaçant le B.E. (Cf. Fondement de l’évolutivité prévisionnelle).
  • Permettre de substituer à son organisation et à son activité du moment, à tout instant et en un temps record, une nouvelle organisation et une nouvelle activité plus performantes dans le but de répondre à d’éventuelles urgences vitales pour l’Humanité (pandémies imprévisibles, catastrophe naturelle en vue, etc.) ou tout simplement d’améliorer son optimalité.

Rappelons que plus notre S.G.H. sera loin du S.U.O., plus notre manque à gagner en progrès occasionné par cet écart sera grand, plus nos bien-être et nos espérances de vie individuels et de l’Espèce seront amoindries. Pour que ce manque à gagner en progrès soit réduit à son minimum, i.e. que le progrès soit maximal, l’érosion du capital longévité en particulier et du capital B.E. en général de toutes les générations et de l’humanité doit être, elle aussi, réduite à son minimum naturel. Seul le mode de développement optimal peut s’acquitter de cette tâche de manière optimale.

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