Du développement durable au développement optimal

Ce livre est paru en 2012. Il démontre l’absolue nécessité et l’urgence de la substitution du mode de développement durable par un nouveau mode de fonctionnement mondial plus performant mis au point par la recherche optimaliste : le mode de développement optimal. L’Optimalisme distingue entre « développement », qui qualifie l’état du développement de la communauté humaine, et « mode de développement », qui est, quant à lui, l’ensemble des moyens mis en œuvre par la communauté pour atteindre cet état : l’activité communautaire, l’organisation logistique, institutionnelle, les techniques, les procédures, les équipements, les lois, etc. Le mode de développement optimal a pour objectif suprême la maximisation du B.E. (bien-être et longévité de l’homme et de l’espèce humaine). Et ce en faisant évoluer le plus rapidement possible, grâce à des actes optimalisants (lois, réformes, activités, etc.), le S.G.H. en cours vers le S.U.O. que l’humanité aura arrêté. Tout en englobant l’esprit du mode de développement durable (agir quasi exclusivement sur l’activité de l’humanité), il agit aussi sur son organisation et ses méthodes de gestion. C’est un mode de développement global, performant, irréfutable, irremplaçable et fédérateur.

o  Pourquoi global ? Parce qu’« il n’existe pas de phénomène ni de problème ayant une incidence notable sur notre B.E. (bien-être et longévité individuels et communautaires) qui ne soit pris en charge par le mode de développement optimal. » (Définition du mode de développement optimal, page 128).

o  Pourquoi performant ? Parce que l’optimalisation (maximiser ce qui favorise le B.E. et minimiser ce qui le défavorise) est le moteur du mode de développement optimal (« A tout instant, la résultante de tous nos actes doit être un acte optimal. » Principe fondamental de l’Optimalisme, page 202). L’Optimalisme démontre que seul un développement optimal pourrait réduire à son minimum naturel l’érosion effrénée du capital longévité individuel et du capital longévité communautaire. Notons que, selon l’optimalité du mode de développement que nous appliquons, nous « programmons » à la hausse ou à la baisse la longévité de chacun des milliards d’hommes actuels et à venir et celle de l’humanité.

o  Pourquoi irréfutable ? Parce qu’il n’est pas l’expression de la passion aveugle mais le fruit de la raison, de la logique optimaliste dont l’objectif suprême est la maximisation du B.E. de chacun et de tous. Qui oserait s’opposer longtemps à la raison ?

o Pourquoi irremplaçable ? Car on ne peut proposer plus optimal que l’optimal. Tout autre mode de développement ne pourrait proposer mieux que la maximisation du B.E.

o  Pourquoi fédérateur ? Pour toutes ces propriétés. De ce fait, il donne aux Etats et aux courants influents de la communauté humaine suffisamment de confiance en un avenir commun prospère pour qu’ils acceptent de faire les grandes concessions qui s’imposent pour sauver l’homme et sa planète.

Ce livre est à considérer comme un appel de détresse que je lance à la communauté internationale au nom des 7 milliards d’hommes que nous sommes, des milliards d’hommes à venir et de l’humanité, tous, sans exception, victimes de l’érosion effrénée, continue, exponentielle et irréversible de leur capital longévité en particulier et de leur capital B.E. en général. Et ce à cause de la défaillance du mode de développement durable dont nous, l’humanité actuelle, sommes responsables.

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