Les concepts optimalistes

Les concepts optimalistes qui vont suivre, à savoir : – le concept optimaliste de l’amplification exponentielle du manque à gagner en progrès ; – le concept optimaliste de la recherche maximale ; – le concept optimaliste de la seconde compte ; – le concept optimaliste de l’homme supplémentaire compte ; – le concept optimaliste de l’érosion du capital B.E., reposent tous sur les notions du progrès et du manque à gagner en progrès. C’est pourquoi je vais d’abord vous présenter ces deux notions dans les deux parties qui suivent : « progrès et manque à gagner en progrès » et « estimation du manque à gagner en progrès ».

Progrès et manque à gagner en progrès

La maximisation du B.E., ou encore la minimisation de l’érosion du capital B.E., nécessite que le progrès scientifique, médical, technique, etc. évolue le plus rapidement et le plus harmonieusement possible. Il est clair que notre aptitude à produire un progrès suffisant pour faire face à tout ce qui menace notre B.E., ou encore notre capital B.E., dépend, entre autres, du choix de l’activité globale de l’Humanité, du choix de l’organisation correspondante, du choix de la formation et du choix de l’affectation des ressources humaines appelées à mener cette activité dans le cadre de cette organisation. En somme, du mode de développement choisi. Le progrès constitue donc notre aptitude à surmonter tout ce qui attente à notre B.E., à notre vie. La fin de l’Humanité sera due à un manque de progrès ou plus précisément aux manques à gagner en progrès accumulés par l’Humanité jusqu’à ce jour.

Le schéma ci-après, dans lequel sont représentées arbitrairement la courbe C d’évolution du progrès de l’Humanité et la suite chronologique des menaces apocalyptiques hypothétiques M1, M2, M3, …, qui jalonnent son avenir (pandémies, séismes, tsunamis, accidents nucléaires, astéroïdes, etc.), montre bien l’absolue nécessité de disposer à tout instant d’un maximum de progrès. On y comprend mieux que plus le niveau du progrès de l’Humanité sera élevé, plus de menaces elle aura la possibilité de surmonter et plus longtemps elle survivra. Comme on le voit sur le schéma, il ne fallait qu’un petit progrès supplémentaire pour surmonter la menace M13 qui marque la fin de l’Humanité.

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Pour espérer surmonter une menace qui se produira aux alentours d’un temps t à venir, l’effort à faire pour accroître le progrès sera moins important s’il intervient beaucoup plus tôt (courbe A) et, réciproquement, il sera beaucoup plus dur si nous tardons à le faire (courbe B). Moralité : la seule manière de mieux faire face aux menaces contre le B.E. est de fournir un effort continu et soutenu en matière de progrès, i.e. d’œuvrer pour le progrès max. De la sorte, quand la menace apocalyptique sera là, la dernière génération de l’Humanité n’aura aucun reproche à faire à ses ancêtres : notre génération et les suivantes.

Par analogie, on pourrait représenter arbitrairement dans un graphe similaire la suite chronologique des menaces apocalyptiques m1, m2, m3, …, qui jalonnent la vie de l’individu (maladies, accidents, catastrophes naturelles, etc.). Évidemment, chaque individu a sa suite de menaces propres. De la même manière, ce nouveau graphe traduirait l’absolue nécessité pour l’individu de disposer à tout instant d’un maximum de progrès pour sauver sa vie : plus le niveau du progrès de l’Humanité sera élevé, plus l’individu surmontera de menaces apocalyptiques individuelles qui lui sont spécifiques et plus longtemps il vivra. On pourrait y faire la même constatation : il ne fallait qu’un petit progrès supplémentaire pour surmonter la menace m13 qui met fin à sa vie. Ce progrès supplémentaire, peut être, selon le cas, un vaccin nouveau, un remède nouveau, des méthodes et des moyens nouveaux de sauvetage et/ou de prévention, progrès supplémentaire qui ne sera réalisé, malheureusement, qu’après la mort de l’individu.

La recherche optimaliste a consigné les constatations ci-dessus dans ce que l’Optimalisme appelle « principes optimalistes ». En voici un rappel succinct. Pour les détails et les démonstrations les concernant, on pourra se reporter au livre « l’Optimalisme et le S.U.O., le concept et la finalité » (cf. Bibliographie). Si les idées contenues dans certains de ces principes peuvent paraître évidentes, leur présentation sous forme de principe était toutefois nécessaire pour servir de base à la déduction logique d’autres principes optimalistes importants. De plus, la simple référence au nom d’un principe dispense de faire ou d’avoir à refaire tout un discours autour de l’assertion qu’il contient, discours qui disperse les discussions et retarde la communication. Commençons ce rappel par ces principes optimalistes qui soulignent l’importance du progrès :

• Principe du « progrès vital »  : Le progrès est un besoin vital.

• Principe de « l’autogénération du progrès » : Le progrès crée le progrès.

 Corollaire du principe de « l’autogénération du progrès » : Tout progrès supplémentaire crée des moyens supplémentaires de production du progrès.

• Principe du « progrès maximal (progrès max.) » : Le rythme d’évolution du progrès doit être maximal, le B.E. en dépend.

• Principe général de « l’extinction précoce de l’Humanité »  : Tout phénomène, tout individu ou tout groupe d’individus qui va à  l’encontre du principe du «progrès max. est un agent d’extinction précoce de l’Humanité.

• Deuxième principe général de « l’extinction précoce de l’Humanité » : Tout phénomène, tout individu ou tout groupe d’individus qui va à l’encontre du principe du «progrès max.» est un agent d’extinction précoce de l’Humanité et un agent de mort précoce de tout homme actuel et de tout homme futur.

• Principe général de « l’érosion du capital B.E. » : Tout phénomène, tout individu ou tout groupe d’individus qui va à l’encontre du principe du «progrès max.» est un agent d’érosion du capital B.E.

Comme phénomènes, agents d’extinction précoce de l’Humanité et d’érosion de son capital B.E., citons : tous les conflits armés de frontières, de territoires, d’idéologies ou d’intérêts, toute politique ou réforme qui va à l’encontre du progrès ou ne favorise pas l’accélération de son rythme ou encore tout mode de développement non optimal.

Les principes optimalistes qui suivent montrent du doigt les principaux responsables du manque à gagner en progrès et donc de l’érosion du capital B.E. : l’Humanité tout entière et son S.G.H. La responsabilité de l’Humanité incombe aux deux parties qui la composent : d’un côté la partie minoritaire que sont les courants influents qui constituent sa force active, celle qui propose et impose les règles, et, de l’autre, sa partie majoritaire, la masse passive et silencieuse qui, en laissant faire et en se laissant faire, cautionne l’influence de la première. Le S.G.H. est aussi responsable car c’est lui qui, par sa conception imparfaite, crée des manques à gagner en progrès et donc nuit au B.E. individuel de chacun de nous.

• Principe de « l’accusation du S.G.H. en vigueur »: Un S.G.H. en vigueur commet un crime contre l’Humanité si son organisation est jugée d’un rythme d’évolution du progrès inférieur au rythme que permettrait l’organisation d’un autre S.G.H.

• Principe de « la responsabilité du S.G.H. en vigueur » : Un S.G.H. en vigueur est responsable des torts qu’il occasionne à l’Humanité si son organisation est jugée d’un rythme d’évolution du progrès inférieur au rythme que permettrait l’organisation d’un autre S.G.H.

• Principes de « tous responsables » : Tous les hommes sont responsables de leur S.G.H.

• Principe de « la solidarité générale» : Aucun être humain n’a le droit de se désolidariser de la recherche commune et de l’édification en commun d’un avenir garantissant le meilleur B.E.

Evidemment, certains peuvent penser : « Que le progrès soit maximal ou pas, nous mourrons quand même. Alors, à quoi bon chercher à le maximiser ? ». Mais cette attitude irresponsable est celle d’hommes normaux sains de corps. Ils changeront d’avis quand leur heure sonnera et qu’ils auront, à leur tour, besoin de traitements médicaux et de parades contre ce qui menace leur vie. Ils « imploreront » le progrès salvateur comme l’implorent à cet instant tous ceux qui sont menacés de disparaître faute de progrès suffisant, faute de développement optimal pour le produire.

Estimation du manque à gagner en progrès

Les deux premières formules, qui vont être établies à partir des hypothèses suivantes, donnent respectivement une estimation du progrès potentiel que peut produire la population mondiale à un instant t donné et une estimation du progrès potentiel optimal qu’elle pourrait produire à cet instant t dans les conditions optimales. La différence entre ces deux estimations, objet de la troisième formule, représente l’estimation du manque à gagner en progrès potentiel à l’instant t de cette population.

La première hypothèse suppose que le progrès potentiel individuel de l’individu i à un instant t, PPi (t), qu’est apte à produire cet individu à sa communauté à cet instant, est proportionnel à son niveau d’études NEi (t) à cet instant. Soit :

PPi (t) = k . NEi (t)

Avec k une constante positive supposée être la même pour tous les individus et dont le rôle est de marquer la proportionnalité entre PPi et NEi. Sa valeur est laissée à l’appréciation de chacun.

La deuxième hypothèse pose 0, 1, 2, 3, 4, 5, … , 20 comme valeurs possibles pour NEi : 0 pour analphabète et enfant de six ans et moins, 1 pour la première année scolaire, … et 20 pour le niveau d’études le plus haut, le doctorat par exemple, niveau qui ne peut être atteint que par les individus âgés de 26 ans et plus. Beaucoup de pays pourront se reconnaître dans cette correspondance. Sinon, ils pourront s’aligner sur celle-ci ou alors établir celle qui correspond à leur contexte.

La troisième hypothèse définit comme unité de mesure du progrès potentiel, notée upp, la constante k. Soit 1 upp = k. Ainsi, d’après la première hypothèse, on admet que pour le niveau d’études 0, le progrès potentiel individuel est nul ; pour le niveau d’études 1, le progrès potentiel individuel est égal à 1 upp ; … et pour le niveau d’études 20, le PPi est de 20 upp.

La quatrième hypothèse, qui est une conséquence des précédentes, conclut que le progrès potentiel de l’Humanité PPH (t) à un instant t n’est autre que la somme arithmétique des PPi, c’est-à-dire des k . NEi, de tous les individus de la population mondiale à cet instant. Soit :

PPH (t) = k . NEH (t)

avec NEH (t) = NE1 (t) du premier individu de la population + NE2 (t) du deuxième + NE3 (t) + … + NEp (t) du dernier individu de la population qui compte p âmes à cet instant.

Cinquième hypothèse : le progrès potentiel optimal individuel de l’individu i à un instant t, noté PPi* (t) et égal à k.NEi* (t), est le progrès potentiel individuel maximal permis par l’âge de l’individu i. Ainsi, pour les individus âgés de 26 ans et plus, le PPi* (t) est de 20 upp ; pour ceux âgés de 25 ans, il est de 19 upp ; … ; pour ceux âgés de sept ans, il est de 1 upp et pour ceux âgés de six ans et moins, il est nul.

Sixième hypothèse : le progrès potentiel optimal de l’Humanité PPH* (t) à un instant t est la somme arithmétique des progrès potentiels optimaux individuels à ce même instant. Ce que résume la formule suivante :

          i=p  

PPH* (t)   =   ∑    PPI* (t)

      i=1

Ou encore :

.                                                    i=p                                  i=p

.                               PPH* (t)   =   ∑    k. NEi* (t)   =   k.    ∑   NEi* (t)  = k . NEH* (t) 

.                                                       i=1                                    i=1

C’est-à-dire :

PPH* (t)    =    k . NEH* (t)

Il représente le progrès potentiel que pourrait produire l’Humanité à l’instant t si chacun de ses individus avait suivi ses études sans redoublement. Le niveau d’études global optimal de toute l’Humanité à l’instant t, noté NEH* (t), est la somme arithmétique des niveaux d’études optimaux NEi* (t) de tous les individus de la population mondiale à l’instant t.

Septième hypothèse : le manque à gagner en progrès potentiel de l’Humanité à un instant t, noté MPPH (t), est la différence entre son progrès potentiel optimal à l’instant t et son progrès potentiel au même instant.

MPPH (t) = PPH* (t) – PPH (t)

En divisant la population mondiale qui compte p âmes à l’instant t en deux parties : les individus de moins de 26 ans numérotés 1, 2, 3,…, s (s étant leur effectif) et les individus âgés de 26 ans et plus numérotés s+1, s+2, …, p (p-s étant leur effectif), et en se basant sur quelques autres hypothèses d’approximation, détaillées dans le livre source « l’Optimalisme et le S.U.O., le concept et la finalité », on aboutit à l’expression finale des trois formules annoncées plus haut :

MPPH(t) = [(p-s) . (20-NEI2(t)) + s . NEI*1(t) / 2] . upp

PPH*(t) = [ s . NEI*1(t) + (p – s) . 20 ] . upp

PPH(t) = [s . NEI*1(t) / 2 + (p – s) . NEI2(t)] . upp

avec : NEI*1(t) : la moyenne arithmétique des NEi*(t) des moins de 26 ans et NEI2(t) : la moyenne arithmétique des NEi(t) des 26 ans et plus.

C’est grâce à ces trois formules inédites que l’Humanité pourra, pour la première fois dans son histoire, donner un ordre de grandeur du progrès potentiel que peut produire la population mondiale à un instant t, PPH (t), du progrès potentiel optimal qu’elle pourrait produire à cet instant t dans les conditions optimales, PPH* (t) et du manque à gagner en progrès potentiel au même instant, MPPH (t), à partir de valeurs réelles ou approximatives des paramètres contenus dans ces formules.

L’application numérique considérée dans le livre source prend les données approximatives suivantes : – l’instant t est l’an 2000. Pour mémoire, le 12 octobre 1999 est le jour où la population mondiale a atteint les 6 milliards d’âmes, jour à partir duquel, à chaque seconde, on enregistre 5 naissances contre 2 décès, et à partir duquel la population mondiale doublera tous les quarante ans : 12 milliards en 2040, 24 en 2080 et 48 en 2120 ; – l’effectif de la population mondiale en 2000 est p = 6 milliards ; – l’effectif des moins de 26 ans en 2000 est  s = 3,5 milliards ; – le niveau d’études optimal individuel moyen est pris égal à 10 ( NEI*1(t)=10) ; – le niveau d’études moyen des 26 ans et plus est de 8 (NEI2(t)=8). Dans ces conditions, nous obtenons :

MPPH (2000) = 47,5 milliards upp PPH* (2000) = 85 milliards upp PPH (2000) = 37,5 milliards upp

Le rapport PPH sur PPH* est de 0,44 et le rapport MPPH sur PPH* est de 0,56. Cela signifie que le progrès potentiel actuel de l’Humanité, PPH, ne représente même pas la moitié du progrès potentiel optimal de l’Humanité, PPH*, qu’elle aurait dû avoir si tout homme avait à ce jour le niveau d’études correspondant à son âge. On constate aussi que le manque à gagner en progrès potentiel de l’Humanité, MPPH, est bien supérieur à son progrès potentiel (i.e. on perd potentiellement plus de progrès qu’on n’en crée) et à la moitié du progrès potentiel optimal de l’Humanité.

Voici dans ce qui suit, tirées du livre source, l’interprétation de ces résultats et les remarques liées à la présente méthode d’estimation de ces grandeurs :

Interprétation de l’application numérique : 1. Sachant que 12upp, 17upp et 20upp ( ou 12k, 17k et 20k) sont respectivement les progrès potentiels du bachelier (12 ans d’études), de l’ingénieur d’État ou équivalent (17 ans d’études) et du docteur, chercheur ou savant (20 ans d’études), 47,5 milliards upp de MPPH est équivalent au progrès potentiel de 3,958 milliards (47,5 milliards / 12) de bacheliers, de 2,794 milliards (47,5 milliards / 17) d’ingénieurs d’État ou équivalent ou 2,375 milliards (47,5 milliards / 20) de docteurs et chercheurs. 2. 47,5 milliards upp de MPPH traduit aussi le manque en formation dont le SGH actuel a privé sa population. 3. Si le SGH actuel avait depuis vingt ans fait en sorte que tout le monde fasse sa formation, ou la complète, sans interruption ni redoublement, auquel cas PPi = PPi* pour tout individu, 47,5 milliards upp auraient été aujourd’hui un gain effectif en progrès potentiel équivalent à celui de 2,375 milliards de chercheurs supplémentaires, de quoi éradiquer en moins d‘une décennie seulement, cancers, sida, hépatites et bon nombre d’autres maladies graves. Si des gens souffrent ou meurent avant l’heure aujourd’hui, c’est en grande partie à cause de ce manque à gagner dont le SGH est responsable. 4. De même, en s’intéressant à l’avenir de l’Humanité plutôt que de se lamenter sur son passé, on peut dire que, si le SGH actuel ne fait pas le nécessaire pour que, dès aujourd’hui, jamais plus personne n’interrompe ses études ni ne redouble, l’Humanité perdra dans 20 ans non seulement un progrès potentiel de 47,5 milliards upp, l’équivalent de celui de 2,375 milliards de chercheurs supplémentaires, mais aussi les 23,75 milliards upp (50% de 47,5 milliards upp) correspondant à l’accroissement de la population, supposé constant, qui sera de 3 milliards selon le taux d’accroissement cité dans l’application numérique ci-dessus. Soit une perte totale de 71,25 milliards upp (47,5 + 23,75) qui sera responsable de nombre de souffrances et de morts précoces dans toutes les générations à venir à partir de 2020. Cette perte sera encore plus considérable en vertu du principe de  »l’amplification exponentielle du manque à gagner en progrès ». 5. La perte de 2,375 milliards de chercheurs correspond à une perte annuelle en nombre d’heures de Recherche estimée, largement à la baisse, à 2,375 milliards x 4h/jour x 5 jours/semaine x 4 semaines/mois x 9 mois/an, soient 1.710 milliards d’heures de Recherche par an. Elle correspond aussi à une perte moyenne de 1710/5 jours/4 semaines/9 mois, soient 9,5 milliards d’heures de Recherche par jour dans ces conditions ou alors 1710/365 jours, soient 4,685 milliards d’heures de Recherche par jour, si on estime qu’un chercheur ne se repose jamais !

Remarques : 1. La démarche utilisée ici s’appuie sur l’utilisation d’une grandeur facile à quantifier, à savoir le niveau d’études des hommes. On n’aurait pas eu la même facilité en utilisant, par exemple, les emplois qu’ils occupent. En effet, si pour le niveau d’études il était facile d’attribuer une valeur entière allant de zéro à vingt, il n’en aurait pas été de même pour le poste de travail ou l’emploi occupé. De plus, l’importance du poste de travail d’un individu et celle de sa contribution au progrès de la communauté sont généralement proportionnelles à son niveau d’études. Mais à quoi bon compliquer l’évaluation du progrès par une méthode complexe si on n’est pas sûr d’aboutir à une estimation nettement plus précise et plus convaincante ? 2. On pourrait estimer le manque à gagner en progrès par le faible nombre de chercheurs, par le faible nombre de centres de Recherche ou par le chômage, le sous-emploi, les emplois redondants, les emplois inutiles et/ou nuisibles. 3. Quelle que soit la méthode retenue pour l’estimation du manque à gagner en progrès, elle pourra servir notamment dans la comparaison des progrès de deux SGH donnés ou de deux communautés humaines données.

 

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