L’optimalisme et le SUO, le concept et la finalité

 

Dans ce livre paru en 2005, je démontre que l’Optimalisme – un ensemble de concepts, de principes et de méthodes que j’ai mis au point en me basant sur l’objectivité et la rigueur de la déduction logique uniquement – est la science politique optimale à suivre par la communauté humaine pour satisfaire l’aspiration suprême commune à tous les hommes : «vivre le mieux possible le plus longtemps possible ».

Une des raisons pour lesquelles j’ai choisi le mot « Optimalisme » en est que tous les problèmes qui se posent à l’humanité et que les politiques ont à résoudre sont des problèmes d’optimisation puisqu’ils sont de la forme « fonction objective à optimiser selon contraintes prédéfinies ». Tous ces problèmes ne sont en fait que que les sous-problèmes du problème maître qu’on peut énoncer ainsi :

« Comment tirer le meilleur profit et ne subir que le moindre mal de la nature humaine et de la Nature dans le cadre des contraintes imposées par celles-ci ? »

ou encore

« Comment maximiser le B.E. (bien-être et longévité individuels et communautaires) dans le cadre des contraintes imposées par la nature humaine et la Nature ? »,

deux expressions équivalentes à

« Comment faire, en tenant compte de la nature humaine et de la Nature, pour répondre le mieux possible à l’aspiration ci-dessus ? ».

Pour l’Optimalisme, la maximisation du B.E. doit être l’objectif suprême de toute politique et de tout mode de développement.

Une autre raison à ce choix en est l’absolue nécessité pour toute politique et pour tout mode de développement choisis d’optimiser tout ce qui peut l’être : le temps, l’organisation, la gestion et l’activité de la communauté humaine, l’éducation universelle, les comportements,…, pour répondre au mieux à l’aspiration précitée. Notamment pour éviter à l’homme une mort prématurée et à l’humanité une extinction prématurée, comme le démontrent les principes des concepts optimalistes de la seconde compte, de l’amplification exponentielle du manque à gagner en progrès et de l’homme supplémentaire compte.

Cette atteinte à la vie de l’homme et à la survie de l’humanité est la conséquence de ce que l’Optimalisme appellera érosion effrénée du capital longévité individuel et du capital longévité communautaire dans le livre « Du développement durable au développement optimal » et qui est due à la défaillance du mode de développement en vigueur.

Des exemplaires de ce livre ont été remis en mains propres à de nombreuses personnalités politiques françaises au cours de la précampagne présidentielle de 2007.

La plus grande partie de la terminologie optimaliste a vu le jour dans ce livre et a fait l’objet d’un dépôt à l’INPI en 2009 après qu’un sympathisant du Modem ait tenté de s’approprier le terme Optimalisme en lui donnant un sens politique différent.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *