La recherche maximale

Pour maximiser le B.E. et minimiser l’érosion du capital B.E., il est nécessaire que le progrès soit maximal et donc que la recherche soit maximale.
Le concept optimaliste de « la recherche maximale » insiste donc sur le fait que la recherche doit couvrir tous les domaines qui influent sur le B.E. de manière significative, qu’un maximum de temps lui soit consacré conformément au concept optimaliste de « la seconde compte » et qu’un maximum de ressources humaines lui soit affecté conformément au concept optimaliste de « l’homme supplémentaire compte ». C’est ce que l’Optimalisme consigne dans les principes suivants :

• Principe de « la Recherche maximale » :
La Recherche maximale est nécessaire au progrès maximal.

• Principe de « tous chercheurs » :
Tous chercheurs, et pour la vie, pour mieux servir le progrès de l’Humanité.

L’Optimalisme considère que tout homme, à tout âge, est apte, dans tout S.G.H., quel qu’en soit le mode de développement, à participer à la Recherche dans la limite de ses moyens et dans le cadre de l’activité à laquelle il est affecté.
Mais si tout le monde a une formation de chercheur, qui gèrera l’activité des postes de travail si ce n’est ces mêmes chercheurs ? D’où la nécessité que tout le monde ait le double profil de gestionnaire-chercheur. De plus, pour être capable d’assurer à la fois les fonctions de chercheur et de gestionnaire dans n’importe quelle activité et dans n’importe quel poste de travail où l’homme sera affecté, il est indispensable d’avoir une formation théorique et pratique variée. D’où la nécessité d’avoir le profil de gestionnaire-chercheur polyvalent, ce que résume ce nouveau principe optimaliste :

• Principe de « tous gestionnaires-chercheurs polyvalents » :
Le profil ultime de formation de tout homme doit être celui de
gestionnaire-chercheur polyvalent,
le B.E. en dépend.

Cette polyvalence sera acquise par tout individu au terme d’un parcours professionnel à travers des postes et des activités variés. C’est cette mobilité quasi identique pour tout individu que l’Optimalisme appelle « roulement optimal ».

Dans le monde vers lequel l’Humanité s’achemine inéluctablement et que l’Optimalisme appelle S.U.O., le profil ultime de formation de tout homme sera celui de gestionnaire-chercheur polyvalent. De cette façon, la civilisation humaine, avec ses acquis en savoir et en savoir-faire, pourrait renaître très rapidement de ses cendres après un cataclysme qui aurait frappé, voire anéanti, une grande partie de la Terre et amputé l’Humanité d’une grande partie de sa population. Autrement dit, d’après l’Optimalisme, on pourrait plus facilement et plus rapidement remettre l’Humanité sur les rails avec une minorité de gestionnaires-chercheurs polyvalents qu’avec une minorité de spécialistes non nécessairement complémentaires en compétences. De plus, dans ce contexte où tous les hommes auront ce même profil, nul ne sera tenté de se déclarer chef, initié, gourou ou autre être dominant ; il n’aura rien à apporter aux autres qu’ils ne sachent déjà. De même, nul n’aura de raison de faire allégeance ni de se soumettre à nul autre. D’ailleurs, toujours dans le but de maximiser le B.E., le S.U.O. renforce l’égalité entre les hommes en instaurant le fondement de la hiérarchie des postes qui supprime ipso facto la hiérarchie entre les hommes, source de tous les maux qu’on lui connaît : complexes d’infériorité, complexes de supériorité, mal-être, jalousies, déceptions, dépressions, coups bas, mises au placard, antagonismes, conflits, luttes pour le pouvoir, guerres civiles pour le pouvoir, etc.

Mais, pour que la Recherche soit maximale, il est nécessaire aussi que le nombre de chercheurs soit maximal. Ce qui revient à dire qu’il est nécessaire que l’effectif de la population adulte ait le profil de gestionnaire-chercheur polyvalent et qu’il soit porté à son optimum possible, optimum en dessous ou au-dessus duquel l’Humanité perdrait en progrès et donc en B.E. Cet optimum, qui varie avec le temps, sera mis à jour constamment par la Recherche optimaliste.
Et dire qu’aujourd’hui encore, certains pensent qu’il faut réduire la population mondiale alors qu’en réalité, même multipliée par 10 ou par 100, elle ne suffirait pas pour s’occuper de l’infinité de sujets de Recherche, tous aussi importants les uns que les autres pour la maximisation de notre B.E. commun.
Et dire qu’aujourd’hui encore, des hommes compétents, débutants (les jeunes diplômés) ou expérimentés (les plus de 50 ans) sont exclus de l’activité humaine par le chômage, la retraite ou la mise au placard !

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