Le B.E. de base

Signification :
Le S.U.O. assure à tout individu, en tout temps et en toute circonstance, un B.E. de base libérateur lui permettant de vaquer à une activité optimale qui exploite au mieux ses aptitudes intellectuelles et physiques. A titre indicatif, car c’est à toute la communauté humaine qu’il revient d’en décider, le B.E. de base doit comprendre : l’alimentation, le logement, l’habillement, les soins médicaux et l’éducation, le tout dans l’égalité et le respect des droits, des goûts et des spécificités de chacun. De plus, son B.E. de base étant ainsi pris en charge par la communauté, l’individu n’aura plus de raison de faire valoir ses propres lois, ou celles de son groupe, pour se le procurer.

Commentaires :
Les conflits actuels entre individus et entre États s’expliquent en bonne partie par l’absence de cette prise en charge communautaire.
Le S.G.H. actuel oblige la majeure partie de l’Humanité à investir le plus clair de son temps, en y consacrant toute son énergie physique et intellectuelle, dans la recherche de la satisfaction, d’abord et avant tout, sans toujours y parvenir, de ses besoins élémentaires vitaux : manger à sa faim, se loger, se vêtir, se soigner, se former, etc. De la sorte, seule une infime partie de cette énergie est employée dans la Recherche garante du progrès nécessaire pour assurer à tous un B.E. de base évolutivement optimal. C’est ce gâchis dans l’exploitation non réfléchie des ressources humaines qui explique, en partie, la non-optimalité du S.G.H. actuel et tous les maux qu’on lui attribue. C’est pourquoi le S.U.O., soucieux d’assurer continuellement aux hommes le meilleur B.E. possible, prend en charge le B.E. de base pour les libérer de cette contrainte accaparante qui freine la Recherche et le progrès garants du B.E. de l’Humanité.

On peut naturellement se poser la question suivante : «Assurer en permanence le B.E. de base à tout individu n’est-il pas le meilleur moyen de le pousser à la paresse et de compromettre la production même de ce B.E. de base ?». La réponse est évidemment négative car, dans le S.U.O., la production des moyens de production du B.E., qu’il s’agisse du B.E. de base ou du B.E. complémentaire, n’est pas un acte facultatif mais une obligation pour tous conformément aux principes optimalistes de « la seconde compte », de ’tous responsables », du « progrès max », de « la Recherche max », etc.
Mais pour assurer à tout homme le B.E. de base, l’organisation préalable de tous les hommes en un seul État est nécessaire. D’où :

• Principe de « la nécessité de l’universalité au B.E. de base » :
L’universalité est nécessaire au B.E. de base.

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