La restriction de la retraite à son optimum

Signification :
Pour assurer l’optimalité du S.U.O., c’est-à-dire le B.E. maximal, chacun est considéré actif depuis sa naissance jusqu’à sa mort, dans les limites optimales de ses capacités.
Les personnes âgées, une mine d’idées et une riche expérience, servent mieux le B.E. et la lutte contre l’érosion effrénée du capital B.E. par le conseil, l’éducation ou la participation aux grandes décisions que par la retraite.
Toutefois, la retraite, au sens arrêt provisoire ou définitif de l’activité, est prévue par le S.U.O. et peut intervenir à n’importe quel âge quand elle est optimalement justifiée.

Commentaires :
Dans le S.G.H. actuel, l’affectation de l’homme à un emploi non valorisant, son affectation à un emploi qui ne répond ni à ses aptitudes ni à sa vocation ainsi que son affectation au chômage et même à la retraite constituent un frein à l’émancipation de son intelligence propre, à l’émancipation de l’intelligence collective de l’Humanité et au progrès nécessaire au B.E..
Que ceux qui sont réticents à la restriction de la retraite à son optimum n’oublient pas :
– que si l’homme actuel tient tant à sa retraite, c’est parce que les conditions de travail que notre S.G.H. lui impose durant toute sa vie active sont le plus souvent difficiles, stressantes, voire même inhumaines ;
– que ce fondement ne sera appliqué qu’aux générations futures ;
– que se soustraire à l’activité communautaire fait de nous de simples consommateurs, et non plus des producteurs, des moyens de production du B.E. ;
– que la mise à la retraite de tout homme occasionne aux générations actuelles et futures un manque à gagner en progrès qui s’amplifie avec le temps de manière exponentielle, les privant ainsi d’un surplus de moyens de production du B.E. nécessaires, il est bon de le rappeler, aux bien-être et aux longévités individuels et communautaires ;
– qu’avec ce fondement, toute personne âgée gardera jusqu’à la fin de sa vie sa dignité et sa fierté de femme active ou d’homme actif contribuant mieux que les jeunes au B.E. de tous. Mieux encore, sa disparition ne sera une joie pour personne : dans le S.U.O., un homme supplémentaire compte. Au contraire, elle constituera une perte pour toute l’Humanité ;
– que les conditions de travail dans le S.U.O. sont l’expression de la volonté de chacun et de se de tous.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *