COP 21 : le point de vue de l’Optimalisme

Depuis la conférence de Copenhague de 2009, la limitation du réchauffement climatique à 2°C n’a pu trouver un accord planétaire juridiquement contraignant. «… La maison brûle, on regarde ailleurs… » avait dit jacques Chirac.

L’accord de Paris ne prévoit pas de clauses juridiquement contraignantes. De plus, les 195 pays présents, qui l’ont tous approuvé, auront le droit, selon les termes de l’accord, de s’en retirer trois ans après son entrée en vigueur en 2020, c’est-à-dire dès 2023.

Ce qui est frappant, c’est que jusqu’à aujourd’hui la politique du mode de développement durable s’obstine à trouver les moyens pour arracher un tel accord sans jamais y parvenir et sans jamais s’attaquer aux contraintes qui s’y opposent. À aucun moment, la politique du mode de développement durable n’a mis en cause les vraies raisons de cet échec : la division de l’humanité en centres de décisions indépendants que sont les États et la division de l’économie et de l’activité communautaires en centres d’intérêts particuliers, privés et donc concurrentiels. Un échec qui dure depuis des années alors que l’Optimalisme démontre que « la seconde compte, notre longévité individuelle et notre longévité communautaire en dépendent ». Environ 200 millions de secondes infructueuses depuis la COP 15 de Copenhague à la COP 21 de Paris (189 345 600 secondes de date en date) génératrices de manques à gagner en progrès et d’érosion effrénée du capital longévité de chacun des hommes actuels et futurs et du capital longévité de l’humanité.

Ce qui est frappant, c’est que toutes les critiques dirigées contre l’inefficacité du mode de développement durable échafaudent un raisonnement on ne peut plus rigoureux annonçant une fin tragique pour l’humanité si rien de sérieux n’est entrepris immédiatement. Arrivées au bout de leur raisonnement, toutes ces critiques s’arrêtent net là où il faudrait conclure et dénoncer les fossoyeurs de l’humanité : la propriété privée excessive et la division de l’humanité en États indépendants.

La restriction de la propriété privée à son optimum ainsi que l’universalité doivent être les objectifs à atteindre, progressivement mais le plus rapidement possible, avant que le rouleau compresseur de la sélection naturelle ne terrasse l’humanité (conflits pour l’acquisition des ressources énergétiques, pour plus de denrées alimentaires, pour plus d’eau, pour plus de terres cultivables devenues rares,…, pour plus de richesses, pour plus de suprématie, etc.).

Seul le mode de développement optimal, transition nécessaire et urgente du mode de développement durable (voir détail sur youtube : les rendez-vous de l’Optimalisme 1, développement durable et développement optimal, lien : https://www.youtube.com/watch?v=j4GpNPpThk8), est en mesure de résoudre tous les problèmes de l’humanité le mieux possible et le plus rapidement possible et plus particulièrement d’atteindre rapidement ces objectifs. Continuer dans la logique du mode de développement durable, c’est exposer l’homme à une mort prématurée et l’humanité à une extinction prématurée, délibérément et en connaissance de cause maintenant que le mode de développement optimal nous offre l’opportunité de sauver l’homme et sa planète.

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