La méthode optimaliste rationnelle de conception du S.U.O.

L’algorithme de la méthode optimaliste rationnelle de conception du S.U.O. est le suivant :

a. Poser le « B.E. max. » comme premier fondement du S.U.O. et comme second fondement le « développement optimal » puisqu’il influe directement, favorablement et de manière prépondérante sur le premier. Relier par une flèche, dite  »flèche d’incidence prépondérante », le second au premier pour marquer le sens de l’incidence.
b. Partant du fondement du « développement optimal », trouver les fondements qui influent favorablement sur lui de manière prépondérante. De chacun d’eux mener vers lui une flèche d’incidence prépondérante.
c. Pour chacun de ces derniers, de la même manière, trouver les nouveaux fondements prépondérants qui lui sont immédiatement nécessaires et tracer toutes les flèches d’incidence prépondérante de sorte qu’elles soient toutes orientées dans la direction du B.E. max.
d. Répéter l’opération c de recherche de fondements prépondérants et de leur fléchage autant de fois qu’il sera jugé nécessaire. Plus on aura déduit de fondements, mieux le S.U.O. sera défini et plus aisée sera la recherche des actes optimisants nécessaires à sa mise en œuvre. Les derniers fondements obtenus, ceux qui ne reçoivent aucune flèche d’incidence prépondérante, sont dits « fondements terminaux ».
e. Ajouter une flèche d’incidence prépondérante supplémentaire, toujours dans le même sens d’orientation, entre tout couple de fondements non reliés par une flèche et dont on juge prépondérante l’incidence de l’un sur l’autre.

Le graphe sans circuit ainsi obtenu sert à définir, par ses fondements et leurs liens d’incidence, le modèle de société cible idéal, ou solution-projet S.U.O. Il sert aussi de base à la conception de la mise en œuvre optimale pour y parvenir, autrement dit à la conception de la mise en œuvre du S.U.O. ou conception du mode de développement optimal proprement dit.
Cette méthode a le mérite de nous donner un modèle de société cible, le meilleur possible, capable de fédérer tous les hommes, parce qu’il leur donne confiance en un avenir dans lequel chacun sera gagnant et tirera un profit bien supérieur à celui que les privilégiés d’aujourd’hui peuvent tirer du S.G.H. actuel.

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